Un voyou en fuite

- ARRÊTER!!!

- Jamais de la vie!!

Clovis courait a vive allure, suivit de près d’un veille homme. Celui-ci le pourchassait pour récupérer ce que le jeune homme lui avait volé. Ce n’était pas la première fois qu’il partait a la chasse au voyous. Le jeune renard lui en avait pas au temps l’habitude et il commençait a ralentir. Le souffle couper et les poumons en feu il se donna un autre coup.

Tout avait commencé a cause que son patron avait une fois de plus essayer de l’agresser sexuellement. C’était tout le temps comme ça. Jamais il n’allait avoir la paix. Il avait travailler dans un petit restaurent et le patron lui avait empoigner une fesse. Ne voulant rien savoir il l’avait repousser, mais celui-ci était revenu a l’attaque. Ne pouvant tolérer de telle agissement, il avait quitter l’emploie avec seulement deux jours de travaille. L’homme en question avait refuser de le payer et il c’était retrouver a encore se chercher un emploi. N’ayant pas un métabolisme fait fort, il tombait souvent malade. Les médicaments coûtait cher et il n’avait pas eu de paye. Alors il en avait voler. Rien de plus simple. Il ne c’était pas attendu a ce que le gérant du magasin ne le pourchasse.

Alors maintenant il courait non seulement pour le produit dans ses mains, mais aussi pour sa vie. Ce n’était pas la première fois qu’il agissait de la sorte, sauf que aujourd’hui allait peut-être être sa dernière.

- Maudit, si seulement on pouvait m’aider.

Le gérant gagnait du terrain sur lui, s’approchant de plus en plus.

Clovis ne pouvait se permettre d’arrêter. Pas maintenant, surtout pas maintenant. Il pouvait sentir sa gorge en feu, ses poumons enrober de sable lui déchirer l’intérieur. Le jeune renard n’avait jamais été en très bonne forme, surtout qu’il détestait le cours d’éducation physique a l’école. Ses jambes commencèrent a durcir sous les crampes. Son cœur battait comme un tambour annonçant le début d’une guerre. Il avait mal partout. Mais ce qui était plus impressionnant était que le vieille homme était capable de le suivre assez près, même que le jeune renard commença a avoir peur de ce faire prendre…

- Arrêter le! Au voleur !! Petit insolent!!!

La voix d’un pharmacien ce fit entendre comme un éco dans une pièce vide derrière lui. Il avala avec difficulté sa salive, essayant de courir un peu plus vite pour juste tourner le coin de la rue… Non mais c’était quoi son problème de ce mettre dans le chemin. Un homme, finement habiller venait de lui barrer la route. Puis une main tomba sur son épaule le faisant arrêter. Clovis maintenant a bout de force, tomba a genoux aux pieds de l’homme.

- M-ma-mais c’est …………… qu-quoi votre …………….. p-ppppproblème.

S’exclama le renard des neiges. Il essaya de se défaire de son emprise, mais l’homme était bien trop imposant. Clovis du se dire qu’il avait perdu et qu’il allait passer une autre nuit entre les barreaux de la cellule au poste de police du coin. Par encore…

Le pauvre Pharmacien soufflait comme une pompe, ayant de la misère a retrouver son souffle de cette cours folle. Il était rendu trop vieux pour ce genre d’aventure. Animer par la rage et la satisfaction d’avoir enfin capturé son petit voleur, il gifla du revers de sa main le jeune homme au sol.

- C-ce petit voyous, ma voler des médicaments. Il---Il doit allez a la police…

Il envoya un regard de pure haine a Clovis qui n’aimait pas la situation présente.

Lloyd fut choquer de la part du Pharmacien. Il se mit devant le jeune homme tout essouflé, et regarda, d'un air menacant, le Pharmacien.

-Monsieur Leckhart!! Ceci est bien plus qu'inappropiré, de tels gestes sont réservé aux barbards, a ceux qui ne mérite pas le rang de bourgeois! Je vous prit, immédiatement, de faire des humbles excuses a se pauvre jeune homme ici. Regardé le, il a l'air pire que vous et vous avez quasiment le double de son âge! Maintenant pardonnez vos gestes immédiatement.

Lloyd savais bien plus que quiconque que le pharmacien s'agenourais et s'excuserais. Monsieur Leckhart reçevait toute sa marchandise par
le biais de la compagnie des Mordio, A.M.N.inc. Une compagnie de connection de communication et de fabrication de logiciel très avancés.
peu importe, Le pharmacien s'excusa avec dégout et mépris, mais certe il s'était excuser. Lloyd prit un chèque et mit le prix des médicaments
puis en ordonna une deuxième fiole. Il signa le chèque, l'arracha de son carnet et le déposa dans la main du pharmacien qui, par pur ironie
couru jusqu'à sa batisse pour aller chercher la deuxième fiole de médicament. Il fini par pousser le petit cercle de gens qui commencais
a bloquer la rue puis se revira vers le jeune homme.

- Et toi ... Pourquoi vole tu donc du Fluoride de zinc? tu ne doit pas savoir que c'est médicament sont principalement utilisé pour traité des cancers
de phase 1 et 2. Alors répond à mes questions ... Qui es-tu? Où vis-tu? Où est ta famille? et surout ... Que fais-tu ici ?

Puis il fixa le jeune homme d'un air confus... Pourquoi voulait-il des médicaments qui guérissait du cancer?? peu importe, Lloyd avait décidé
de le ramener chez lui.

Clovis le regarda un moment, ce demandant bien ce qui avait peu déranger cet homme a se point. Il n’était quand même pas le roi du monde. Il n’en croyait pas ses yeux. Il était vraiment un drôle de personnage. Sans se faire trop visible, il écouta la conversation. Alors celle la était bonne. Il voulait que le vieil homme lui donne des excuses quand c’était lui qui avait volé de son magasin. Un sourire s’étira sur ses lèvres, c’était vraiment son jour de chance. Non seulement il se faisait donner des excuses, mais aussi ses médicaments étaient payés. Drôlement le vieil homme fit ce qu’il lui avait été demander.

- Alors celle la est bonne.

Il regarda ébahie par ce qui ce déroulait autour de lui. Le pharmacien accepta l’argent en chèque et retourna au magasin pour allez lui chercher une autre bouteille de son médicament couteau. Quand il reviens, il lui prit la bouteille, un sourire au lèvres.

- Merci.

Puis le plus vieux s’exclama, disant qu’il avait voler du Fluoride de zinc, un médicament contre le cancer. Pourquoi est-ce qu’il aurait voler un médicament qu’il ne pourrait utiliser. Il se mit a rire d’un coup, les larmes aux yeux.

- Tu te trompe mon beau. Ce n’est que du médicament contre la toux. Je ne suis pas assez stupide pour voler quelque chose que je ne peux pas utiliser.

Il essuya ses larmes du revers de sa main, se relevant en essuyant son pantalon de la saleté du sol.

-Quoi? Fais moi voir!

Lloyd exmina la bouteille, et remarqua que l'étiquette écrivait :Soulage bien. Et bien, une telle commotion et ses yeux lui jouais des tours.
Mais bon, il redonna la bouteille au jeune homme le tapota de la tête et lui répondit,

-Sur l'exitation j'ai mal lu l'étiquette ... hahah, mais bon, Je me présente, Lloyd Mordio, de la Famille Mordio, une des plus puissantes familles
de noble de notre pays. Et vous êtes?

En se présentant, il fléchit du bassin, faisant une révérance, puis se releva pour tendre la main au jeune inconnu devant lui. Il était plutot mignon le jeune
homme, peut-être le ramennerait-il pour souper se soir ?

Clovis se fit arracher la bouteille des mains. Il sourit a lui voir la troche quand il remarqua qu’il avait mal lu. Une chance pour lui, sinon il aurait été obliger d’allez voler le vrai médicament. Son portefeuille était dans le rouge, dangereusement sur le point d’être vide. Il n’aimait pas sa a cause qu’il avait un appartement a payer, le chauffage, quoi qu’il pouvait faire sans. Il y avait aussi la nourriture et l’électricité. Le jeune homme soupira bruyamment. Puis le plus vieux se présenta. Un noble. Quelle chance. Il sourit doucement en s’exclamant a son tour.

- Clovis… Clovis Faiden… Rien de plus malheureusement.

Il lui envoya un regard sensuel. Peut-être que le charmer il l’inviterait a souper ou même chez lui ou il pourrait lui prendre quelque petite affaire et les revendre pour se faire un peu d’argent.

- Je suis enchanter de rencontré un homme de vôtre statue, on ne peux pas dire que sa arrive a tout les jours…

Tranquillement le petit renard s’approcha de lui de manière aguicheuse. S’il n’était pas au homme et bien il allait le devenir. Tout doucement, même avec délicatesse il déposa sa main sur son torse ferme. Le jeune homme ronronna. Jack Pot!